Enrick Søren

Nom : Søren
Prénom : Enrick
Age : 24 ans à sa morsure / 350 ans

Métier : aucun pour le moment

Pouvoir : Enrick a le pouvoir de s’approprier aléatoirement les pouvoirs d’autres vampires en les touchant. Mais ce pouvoir est très aléatoire pour le moment et il ne peut savoir quand il va se déclancher.
Sinon, ce n’est pas vraiment un pouvoir mais plutôt une capacité, Enrick peut sans aucune difficulté manier n’importe quelle arme blanche.

Description physique : Enrick est un homme aux longs cheveux blonds dorés qu’il tire en arrière afin de les attacher. Ceux-ci sont fins et toujours propres, bien qu’il ne les lave que rarement. Ces longs cheveux contrastent avec ses yeux sombres. Ceux-ci ne renvoient que le mystère du jeune homme, qui ne révèle que peu de chose de lui. Il a un nez de taille normale, ni trop grand, ni trop petit. Ses lèvres sont d’un rouge pâle et affichent souvent un petit sourire énigmatique. Enrick a aussi une peau très pâle, qui ne s’est que faiblement blanchie lors de sa métamorphose. Pour conclure sur son visage, celui-ci est d’une beauté mystérieuse, sans être une perfection, après tout même les petites imperfections avaient leur charme non ? Il lui arrive aussi de porter une fine couronne en argent, l’un de ses seuls souvenirs de sa vie humaine.
Niveau vestimentaire, Enrick a régulièrement évolué au cours du temps. Au départ, il ne portait qu’une simple tunique vert pâle et un pantalon de toile de la même couleur, sans chaussures. Depuis quelques temps, il porte quasiment la même tenue, mais en moins haillons, avec des décorations sur la tunique, il porte aussi une ceinture de cuir et des chaussures qui passent partout.
Enrick n’est pas excessivement grand, avec 1 mètre 85. Il possède une fine musculature, non révélatrice de sa force. A sa ceinture, on peut souvent observer, quand il se trouve dans la ville des vampires ou dans la forêt, deux épées de même taille, forgées dans un rare métal qui les rend à la fois souple et résistantes, mais excessivement lourdes pour des épées. C’est encore une marque de sa vie passée. Il lui arrive aussi d’avoir un arc passé en bandouiller et un carquois plein à sa ceinture. A son cou, on peut observer deux trous, qu’il cache à l’aide d’un foulard de soie.

Description morale : Enrick est une personne assez mystérieuse, comme le révèle son physique. En effet, d’une nature peu bavarde et distante, il a tendance à s’isoler dans certains coins reculés de la forêt. Il apprécie énormément la nature et les animaux qui la peuplent. Calme et serein en toute circonstance, Enrick est un bon conseiller, puisqu’on lui a auparavant apprit à raisonner dans le calme afin d’en tirer toutes les solutions possibles et imaginables. C’est quelqu’un de réfléchit qui aime raisonner.
Un autre point important de sa personnalité est son côté généreux. En effet, bien qu’il paraisse distant, Enrick est une personne toujours prête à aider les autres quelque soient leurs problèmes. Cela ne lui pose pas vraiment de soucis de perdre un peu de son temps si insignifiant, après tout, toute personne étant éternelle avait devant elle trop de temps à dépenser, alors pourquoi ne pas aider les autres s’ils en avaient besoin ?
Enrick est une personne qui fait attention à son apparence. Il déteste avoir des cheveux décoiffés ou des vêtements trop déchirés. Il est très attaché à son physique, pratiquant régulièrement ses entraînements.

L’un des plus gros défauts de Enrick est sa franchise. Il manque parfois de tact dans ses propos et peu sembler désagréable sans le vouloir. Cela lui a déjà valu des tours auparavant, et seul son côté diplomate lui a permit de se sortir de situations délicates à certains moments. Sans compter son côté agressif quand il se sent menacé, où il dégaine ses armes pour se défendre.

En parlant d’armes, Enrick manie à la perfection l’arc et les épées. Il a apprit pendant ces années de vampire à perfectionner le savoir qu’il avait acquit durant sa vie humaine. En effet, il a apprit très tôt dans sa vie humaine à manier l’épée et l’arc pour défendre les siens.

Enrick n’a jamais eu de haine contre quiconque. Il n’a jamais pu aimer non plus d’ailleurs. Ces deux sentiments ne lui sont jamais parvenus au cœur, qui ne bat plus d’ailleurs, mais il est capable de colères, rares mais violentes, comme de pitié et de sympathie.

(le message est trop long, j'écris la suite en réponse)

Histoire : Enrick est né un jour de soleil dans une contrée de la Scandinavie, en 1658. Lui-même serait incapable de retrouver la ville d’où il vient. Il fut le fils aîné d’une famille qui gouvernait l’une des provinces de la scandinavie. A sa naissance, il fut acclamé comme le prince héritier de la contrée, et il nagea dans la richesse et le bonheur. Durant sa vie humaine, il apprit le bonheur d’une famille, la reconnaissance d’un peuple et bien d’autres. Il se sentit même fier quand, à ses cinq ans, il eut un petit frère et une petite sœur en même temps. Il n’était pas rare dans ce pays d’avoir des jumeaux, et c’était bien en général signe de bonheur au sein de la famille. Dès son plus jeune âge, avec un avenir prometteur devant lui, Enrick apprit à manier l’arc et les armes, afin de pouvoir un jour défendre les siens et ses terres. Il s’averra être doué pour cela. A ses quinze ans, il dépassait ses maîtres, et faisait la fierté de son père. A partir de ce même âge, on lui apprit à gérer les difficultés du pays, en prévoyant les famines ou carnages naturels. Une partie de sa vie humaine lui a permit à développer son côté diplomate et franc. Enrick savait aussi gérer son apprentissage et sa vie en famille. En effet, il fut un grand frère toujours proche de ses petits frères et sœurs afin de les aider à grandir en toute sérénité, apprenant aussi à son jeune frère ce qu’on lui avait apprit.

Cependant, une nuit où la lune décroissait, peu de temps avant la nouvelle lune, Enrick ne sentit pas le sommeil venir. Aussi, il décida, tout en gardant son arc et ses flèches sur lui, de sortir afin de se dégourdir les jambes et de s’occuper avant que le sommeil ne vienne. Il marchait sur la neige qui était tombée dans la journée, et écoutait chaque bruit qui lui parvenait à ses oreilles. La neige commença à retomber et Enrick décida de rentrer au château. Le retour se passa comme l’aller, soit sans aucun soucis. Enrick croisa quelques personnes qui ne devaient pas, elle non plus, trouver le sommeil. C’était une habitude de marcher dehors dans ses cas là. Il arriva dans sa chambre et ferma la porte. Il alla se fourrer dans ses draps et essaya de trouver le sommeil. Impossible. Il regarda par les vitraux qui lui servaient de fenêtre, la neige tombait maintenant à flot, un véritable blizzard soufflait. Il avait bien fait de rentrer. Il se releva à nouveau et se dirigea vers les vitraux pour regarder au dehors. Il cru distinguer dans le blizzard une silhouette sombre, qui disparut aussitôt. Cela devait être le fruit de son imagination, aussi il ne s‘en préoccupa pas. Malheur à lui ! S’il avait été un peu plus sur ses gardes, il aurait sentit la présence qui venait de s’infiltrer dans sa chambre au moment où l’ombre avait disparut, il aurait fait attention au faible bruit de ses pas, et aurait pu réagir avant de sentir une main se pose contre sa bouche et un bras l’immobiliser. Enrick ne paniqua pas, et essaya en vain de se débattre. La personne qui était derrière lui le maintenant fermement et aucun mouvement n’était possible pour Enrick, qui sentit quelque chose se rapprocher de sa gorge. Dans un souffle rauque, l’homme lui lança quelques mots.

« Toute personne me voyant doit finir ainsi. »

Enrick sentit quelque chose se planter dans son cou, comme deux crochets. D’un coup, il essaya de hurler, mais la main qui lui tenait la bouche lui en empêcha. Il ne pu que pousser des gémissements de douleur. Par chance, ou malchance, un homme de la garde passa par là, et d’un mouvement brusque, ouvrit la porte. Alertant d’un étranger dans la chambre du prince aîné, il se précipita vers l’inconnu et se lança à l’attaque. Enrick se sentait vide, sans vraiment savoir ce qui s’était passé. L’homme le lâcha pour s’enfuir. Les jambes du prince cédèrent, sans aucune force, et ses yeux parurent vides. Il se sentit transporté, observé, mais il lui fut impossible de reconnaître les voix qui lui parvenaient. On décida qu’un garde le surveillerait, et à tour de rôle, les gardes se relayeraient. L’ordre fut donné, et cela se passa ainsi. L’ombre agressive n’avait pas dit son dernier mot. Sa victime était encore sous une certaine forme humaine, il n’avait pas pu boire tout son sang. Aussi, après quelques minutes, il assomma le garde et retourna vers Enrick afin de finir ce qu’il avait commencé. Il planta ses crocs exactement au même endroit et finit de boire le sang du jeune homme. Maintenant, le corps de ce garçon allait devenir le même que le sien, celui d’un vampire. Le fait qu’il soit dans les vapes lui permettait une transformation sans qu’il n’ait à crier. Quelques minutes plus tard, Enrick se releva, essayant de comprendre ce qui venait de se passer. L’homme lui jeta son arc et ses flèches, que Enrick avait auparavant posés auprès de son lit.

« Je te conseille de fuir si tu ne veux pas t’en prendre à tes proches. »

Enrick prit ce que l’homme lui avait jeté, et il le visa.

« Qui es tu et que fait tu ici ? »
« N’as-tu pas envie de goûter du sang de cet homme ? »

D’un coup de tête, le vampire désigna le garde allongé. Enrick le regarda, et une furieuse envie lui prit en voyant l’une des veines de l’homme ressortir, il avait envie de boire le sang qu’il avait en lui, de le boire jusqu’à la dernière goutte, et il sentait que cela ne lui suffirait pas.

« C’est cette envie qui prouve que tu es bel et bien devenu comme moi, un vampire. »

A ce moment là, un garde entra, appelant à nouveau les siens pour protéger le prince. Enrick se sentait mal, entouré de tous ces hommes au sang chaud. Aussi, il leva son bras afin de cesser toute attaque. Il vit au passage son père et son jeune frère.

« Préparez moi un cheval, et mes armes. »

L’étonnement suivit ses ordres et son père s’approcha.

« Père, gardez vos distances. Cet homme est un vampire, et a fait de moi un des siens. Je pars immédiatement afin de ne pas être tenté de m’en prendre à vous. »

Puis il se tourna vers son frère. Celui-ci allait bientôt avoir 20 ans. Il allait prendre sa place maintenant. Enrick s’en voulait presque de laisser son frère s’occuper d’un royaume alors qu’il n’avait jamais apprit comme lui. Oui, il s’en voulait, il en voulait aussi au vampire qui était auprès de lui, encerclé. Mais il lui était impossible de le haïr.

« Mon frère, c’est à toi que revient la charge du royaume. Je m’en vais, et je te laisse ma place. Veille bien sur tous, et surtout sur tes proches. »

On vint le prévenir que le cheval était prêt. Enrick prit ses armes, soit son arc, ses flèches et ses deux épées, et partit sans prendre le temps de se changer. Il avait une simple tunique verte avec un pantalon de toile. Le jour était loin de se lever. Au moment où il sortit de sa chambre, il entendit des échos de voix, l’autre vampire venait de se volatiliser.

Enfin il partit, sans vraiment savoir où aller. Il stoppa son avancée en voyant le vampire qui l’avait rendu à cet état. Celui-ci lui demanda de le suivre. N’ayant nulle part où aller, Enrick le suivit. Ils arrivèrent dans une grotte, où Enrick laissa le cheval qui s’enfuit, emportant tout ce que Enrick n’avait pas sur lui. Il ne lui restait que ses armes et ses vêtements. Il suivit l’autre vampire dans les profondeurs de la grotte. Il lui dit qu’ils allaient rester là un moment. Combien de temps ? Ça il ne le savait pas, on viendrait les chercher. Qui ? Il ne devait pas le dire. Pourquoi ici ? Parce que la lumière du soleil les affaiblissait. Enrick cessa ses questions. Quelques longs jours plus tard, en début de nuit, un autre vampire arriva et salua d’un signe de tête les deux autres. On les mena autre part, dans une sorte de château sombre. On fit entrer Enrick dans une chambre, lui disant qu’on viendrait le voir et qu’il n’avait pas intérêt à user de ses pouvoirs. Quels pouvoirs ? De quoi parlaient-ils ? Enrick observa la pièce. Seules des bougies illuminaient la pièce, aucune vitre, aucun vitrail, rien ne laissait passer la lumière du soleil.

« Désolé de ne pas vous accueillir dans le même attirail que votre maison, jeune prince. »

Une voix de femme … Que Enrick connaissait. Il l’avait si souvent entendue durant son enfance. C’était la voix d’une personne réputée pour faire des allergies à la lumière du soleil, d’un royaume voisin au sien. Il se retourna, ces yeux dévisageant la femme qui était face à lui.

« Je m’excuse de ce que Maxence vous a fait subir, il ne connaît pas nos coutumes, il n’est pas d’ici. Vous ne devriez pas être sa victime, surtout que nos royaumes sont en paix. »
« Ce qui est fait est fait, n’essayez pas de vous excuser pour des erreurs qui ne sont pas les votre. Expliquez moi plutôt ce que je vais faire maintenant. Comment vivre si l’on ne supporte pas la lumière du soleil ? Surtout que si je reste dans le coin on me retrouvera et on essaiera de me tuer. »
« J’ai l’intention de vous envoyer chez un lointain vampire, lui saura vous guider mieux que moi. »
« Et où se trouve-t-il ? »
« En Sibérie, le froid ne vous changera pas, mais c’est loin de nos contrées, vous serez à l’abri. Maxence vous y mènera dès que vous le souhaitez. »
« Maintenant. »

Obéissant à ses ordres, on l’envoya en Sibérie sur le champ. Enrick y rencontra un vieux vampire maître des armes. Là bas, il apprit à mieux de battre qu’il ne le savait déjà et il apprit à vivre sans boire beaucoup de sang chaud. Cela n’était qu’une compensation de ses efforts. Rapidement, il excella dans le domaine du tir à l’arc et dans le maniement de toute arme blanche. Il y apprit aussi quel été son pouvoir.

Un jour, alors qu’ils recevaient de la visite d’un ami au maître de Enrick, celui-ci lui serra la main, en guise de salutation comme il avait l’habitude chez lui, en Angleterre. Enrick enleva rapidement sa main, sentant une vive douleur dans sa paume qui brûlait à vue d’œil. La brûlure disparut rapidement, et Enrick essaya d’oublier cet évènement. Sauf qu’en tirant une flèche un peu plus tard dans la journée, celle-ci s’enflamma. Le visiteur parut surprit, expliquant qu’il n’avait pas utilisé le feu, que c’était un cas étrange. Enrick eut plusieurs fois par hasard ce type d’étrangeté, et en conclus quant à son don : il pouvait temporairement s’approprier les pouvoirs d’un autre vampire.

Cela faisait 325 ans que Enrick se trouvait avec le vieux vampire. Celui-ci lui expliqua qu’on lui avait narré qu’un village spécifique pour les vampires se trouvait quelque part dans le monde, et qu’il ferait mieux de partir pour vivre sa vie, surtout qu’il n’avait plus rien à apprendre de lui ? Enrick ne se fit pas prier. Malgré l’affection qu’il avait pour ce vampire, il n’arrivait pas à s’y attacher comme il s’était auparavant attaché à sa famille, maintenant décédée. Enrick prit le chemin, ne sachant où aller exactement. Il marcha pendant une année et finit par trouver le fameux village où il s’installa. Maintenant, il devait trouver un emploi. Cela n’avait rien de facile, il venait d’arriver et ne savait pas vraiment quoi faire ni quel talent exploiter. Il pouvait parfaitement enseigner l’art de se battre, mais doutait que cela soit bien vu. Aussi, pour le moment, il est sans emploi.

Autre ? Manie à la perfection toute arme blanche et les arcs. Sait se débrouiller avec une arbalète aussi mais ne sait pas utiliser d’arme à feu.
Code : Code bon
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